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    Je m'en vais par ici : www.wordsbylee.canalblog.com.

    Ici, il ya trop de souvenirs.

    xxx


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    A chaque fois que je débute une note à peu près originale, tout fous le camp. Ce n'est décidément pas ma journée. Enfermée à double tour dans ma chambre en ce mardi soir, le temps s'écoule, et la vie se déroule sans fin. Derrière les murs de mon chez moi se poursuit le quotidien d'une famille (presque) comme les autres. Et une fille, perdue, tente de trouver des mots qui colleraient à la situation d'aujourd'hui. Parce que beaucoup de pensées s'entrechoquent et se mêlent, jusqu'à se blesser et se détruirent entre elles. Là-haut. Cette nana c'est moi. Entre deux révisions, elle a besoin de décompresser cette nénétte. De ces mêmes personnes pas toujours interessantes croisées chaque jour, de ces cours interminables, de ces 6 clopes grillées quotidiennement, de ces courbatures pas possible a cause d'un foutu sport où l'on doit exécuter des pirouettes bizarres pour soi-disant avoir un bac SMS à la fin de l'année... C'est toujours ça, en ce moment.

    Les nuits sont courtes. Les journées trop longues. Je m'offre d'éclore par ici. Je suis trop renfermée en temps normal. Ici, ça fait du bien. C'est comme déguster un chocolat : ça fond lentement sur la langue, et c'est si bon... .


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  •     J'ai feuilleté mon agenda. J'y ai marqué quelques croix au stylo rouge aux dates qui rappellent certaines choses dont on ne voudrait parfois pas se souvenir, tant la douleur des regrets font mal. Je me suis lançée dans mon travail scolaire comme jamais. Histoire de penser à autre chose, d'évacuer pas mal par l'épuisement du quotidien. J'ai cette nostalgie qui me colle à la peau, et dont je ne réussi pas à me débarasser, pas même sous les jets d'eau chaude de ma douche. Je me lasse bien trop vite de tout ce qui reste matériel et futile. Je me noie parfois dans des lectures sans intérêt, ou d'autres fois encore dans certaines musique à la mélodie superficielle mais qui fait couler de chaudes larmes. Je sens cette période creuse, ce mal-être qui reviens, et qui correspond aux cours, aux horaires calculés d'avance. Je me fonds dans le décor, attends sagement mon train sur un quai de gare tous les matins, enroulée dans une écharpe qui ne me tient même pas chaud. Parfois de voir la fumée sortir de ma bouche quelques instants me rappele que l'hiver n'est plus vraiment loin. Les jours raccourcissent, et mon moral avec. Certaines choses essentielles me manquent. Elles se reconnaitront.

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